

L'ambiance y était bon enfant et n'a jamais au demeurant les excès de sa grande soeur munichoise où je suis allé une fois en 1985 avec Renata et Serge à l' époque où je pouvais supporter ce dernier. J' ai d' ailleurs encore une photo de nous trois où nous avons l' air de joyeux lurons un peu éméchés, ce que nous étions sans doute.
Cette année j 'ai tenté une bière sans aucun plaisir et elle m'a d'ailleurs donné instantanément mal à la tête. Je ne l'ai même pas terminée.
Néanmoins c' est assez admirable de voir que malgré les très dures conditions dans lesquelles se trouvent l ile et ses habitants, le coeur y était encore. Certes les sourires étaient moins prononcés que l' an dernier et l' envie de s'amuser en dansant et buvant moins présente mais au moins la volonté de renouer avec des temps plus cléments témoigne de cette irrésistible envie de survivre et de surmonter les crises qui caractéise l'âme américaine et sans aucun doute la psyché germanique. Galveston a peut-être été créée par un Canadien francais du nom de Michel Menard mais elle a été construite par des Allemands et il n' y a pas longtemps la langue de Goethe etait toujours la plus parlée dans l'ile. Ach so !!!
Dans le fond, je suis revenu à mes premières amours.
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