Tuesday, November 24, 2009

ET VOILA BRASILLACH


Ma santé est bonne, pas de nausées, pas de problèmes intestinaux, pas de douleurs, je vais mieux mais je dois encore avoir un traitement nouveau pour lutter contre le cancer qui semble avoir progressé mais où ? La scinti et le scan me le diront bientôt.

En attendant, je lis Brasillach dont mon cousin Emmanuel m'a envoyé un livre, "Comme le temps passe". Je dois dire que je n'ai pratiquement jamais rien lui de ces auteurs maudits à l'exception d'un Celine ou deux quand j'étais ado. Mais ce sont des auteurs qu'il faut lire adulte pour mieux comprendre leur engagement parfois inacceptable et leur génie toujours accepté. Le seul dont je sais un peu quelquechose c'est Lucien Rebatet dont j'ai lu la fantastique Histoire de la musique et dont j'ai adoré le style fantastique et la culture stupéfiante.

Me revoilà plongé dans la francité, comme dirait ce crétin de Sarkozy, comme je suis loin de Galveston et d'Obama, mais comme je reste attaché dans mon coeur à mon ile sablonneuse et à l'indécence de l'Amérique dans tous ses excès, même aux plus haineux des Républicains accrochés comme des arapèdes à un modèle qui ne marche plus tel qu'ils le rêvent encore comme des gosses qui n'ont rien compris ou refusent d'admettre qu'ils se sont fait laver le cerveau depuis des décennies.

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