Début de la chimio ce matin à 9h, terminée sans problème à 11:30am, j'ai dormi durant la procédure, tout le monde a été très gentil. Toujours mal au dos mais beaucoup moins de nausées. Of course Maman nous attendait à l'hôtel inquiète de ne pas avoir de nouvelles, appelant Alain et se rongeant d'inquiétude, elle n'est vraiment pas cool et je lui ai dit de ne pas s'inquiéter pour un oui ou non, ce à quoi elle a répondu "mais je ne m'inquète pas!"... On ne changera pas les Mamans mais je pense que la mienne est tout de même un peu trop portée sur l'angoisse et cela me stresse de la voir ainsi. Elle ne porte pas bien le stress et je trouve qu'elle maigrit encore. Mais dans l'ensemble elle est plus qu' à la hauteur et quel dévouement, elle en fait trop, je trouve, mais si on le lui dit, elle nie. Que faire ? Du coup, je suis trop souvent impatient et je sens que cela la blesse et j'ai honte.
Les news de l'été sont mortelles : accidents, crimes, plages.... et puis le bon petit côté sécuritaire-sécurisant à la sauce Sarko mais je finis par croire que tous ces empaffés de journalistes s'ils ne tombent pas dans la Sarkidolâtrie se vautrent dans l'anti-Sarkozysme élémentaro-primaire qui me fait dégueuler et penser que Nico doit bien se marrer quand il voit la médiocrité de la couverture médiatique. J'ai souvent regretté d'avoir été jeté à la porte du journalisme à 50 ans sans raisons ouvertes et claires mais à 64 ans avec le recul, 11 ans de vie aux USA, je sais que je n'ai rien à regretter, je n'aurai jamais pu réaliser mon rêve à Paris d 'un grand journalisme indépendant, bien dans sa peau avec l'insolence et le respect nécessaires à un minimum d'objectivité.
De nos jours personne ne respecte rien ni personne mais personne n'a le talent, le courage et l'esprit de l' insolence : on a des vers de terre hurlant et luisant de haine qui sautillent et s'enjambent dans la vase de l'hyper concurrence médiatique.
Les news de l'été sont mortelles : accidents, crimes, plages.... et puis le bon petit côté sécuritaire-sécurisant à la sauce Sarko mais je finis par croire que tous ces empaffés de journalistes s'ils ne tombent pas dans la Sarkidolâtrie se vautrent dans l'anti-Sarkozysme élémentaro-primaire qui me fait dégueuler et penser que Nico doit bien se marrer quand il voit la médiocrité de la couverture médiatique. J'ai souvent regretté d'avoir été jeté à la porte du journalisme à 50 ans sans raisons ouvertes et claires mais à 64 ans avec le recul, 11 ans de vie aux USA, je sais que je n'ai rien à regretter, je n'aurai jamais pu réaliser mon rêve à Paris d 'un grand journalisme indépendant, bien dans sa peau avec l'insolence et le respect nécessaires à un minimum d'objectivité.
De nos jours personne ne respecte rien ni personne mais personne n'a le talent, le courage et l'esprit de l' insolence : on a des vers de terre hurlant et luisant de haine qui sautillent et s'enjambent dans la vase de l'hyper concurrence médiatique.
Dans quelques jours, j'espère pouvoir aller retrouver dans la Vaucluse mes cousins bien aimés Patrice et Ann Laffont que je n'ai plus vus depuis si longtemps. J'ai été un mauvais cousin qui a laissé tomber ceux qu'ils aiment. Tant il est vrai qu'à Paris, on devient indifférent aux autres et on ne voit même plus ce qu'on aime. On finit par les oublier. Shame on me. Dieu n'avait pas mis assez d'amour dans mon coeur , à moins que ce soit dans mon coeur que Dieu soit trop petit.
PS : La prochaine cure est le 6 août, je dois prendre une photo.
PS : La prochaine cure est le 6 août, je dois prendre une photo.
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