Hier Charles Zajde (gauche sur la photo, à sa gauche c'est Ann) et sa femme Monique partielle sur la photo), de passage à Marseille, en provenance de Monte Carlo, ont diné à la maison chez Maman. Ils n'ont pas changé depuis 2004 en dépit d'une alerte cardiaque sérieuse pour Charles. L'ex président directeur de Informatek, le pionnier de la mèdecine nucléaire qui avait établi des filiales aux USA et au Japon, est plus "vibrant" que jamais. Il a publié à compte d'auteur un livre sur son enfance juive dans la France de Vichy et se débrouille pour le vendre un peu partout en France avec l'aide de grandes surfaces telles la FNAC, Auchan and so on.
J'ai rédigé la préface du livre qui est très émouvant. Caché dans une famille française à la campagne pendant 5 ans à l'âge de six ans, il n'avait plus son père déporté ni sa mère cachée ailleurs dans les forêts françaises. Une drôle d'enfance à vrai dire et il raconte tout cela avec beaucoup de simplicité et en fait de talent. Finalement son père se suicida à Auschwitz en se jetant sur les fils de fer barbelés et sous les balles des SS ; sa mère ne retrouvera son fils qu' en 1945. Tout cela ne l'empêchera pas de faire Supelec et de devenir un pionnier en son domaine avant que le gouvernement socialiste et une vieille salope de ministre de la recherche dont je tairai le nom par bonté le laissent tomber à la grande satisfaction de la CGR et d'un récupérateur d'entreprise qui liquidera à son profit les actifs.
A l'époque les patrons de la CGR m'avaient même engueulé parceque je le soutenais dans mes articles du Nouveau Journal. Le monde patronal français est rempli de barons merdeux qui ne supportent pas la concurrence. Charles est reparti ce matin pour Lyon et j'espère qu'on pourra avec Ann aller les voir à Orsay.
Moi je vais bien ce matin sauf ma douleur musculaire dans le dos qui me tue.
J'ai rédigé la préface du livre qui est très émouvant. Caché dans une famille française à la campagne pendant 5 ans à l'âge de six ans, il n'avait plus son père déporté ni sa mère cachée ailleurs dans les forêts françaises. Une drôle d'enfance à vrai dire et il raconte tout cela avec beaucoup de simplicité et en fait de talent. Finalement son père se suicida à Auschwitz en se jetant sur les fils de fer barbelés et sous les balles des SS ; sa mère ne retrouvera son fils qu' en 1945. Tout cela ne l'empêchera pas de faire Supelec et de devenir un pionnier en son domaine avant que le gouvernement socialiste et une vieille salope de ministre de la recherche dont je tairai le nom par bonté le laissent tomber à la grande satisfaction de la CGR et d'un récupérateur d'entreprise qui liquidera à son profit les actifs.
A l'époque les patrons de la CGR m'avaient même engueulé parceque je le soutenais dans mes articles du Nouveau Journal. Le monde patronal français est rempli de barons merdeux qui ne supportent pas la concurrence. Charles est reparti ce matin pour Lyon et j'espère qu'on pourra avec Ann aller les voir à Orsay.
Moi je vais bien ce matin sauf ma douleur musculaire dans le dos qui me tue.
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